Livre:Joueur/univers

De Bolkis
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Ceci est une ébauche à compléter...

Ce livre présente l'univers Bolkis pour des joueurs de jeux de rôle.

Biologie Bolkis

Morphologie

Les bolkis sont des boules de couleurs d'environ 10 cm de diamètre lévitant à quelques centimètres du sol grâce à leur répulseurs

Généralement munis de deux yeux, deux oreilles, une bouche, deux bras, deux mains de 6 doigts, ils peuvent cependant adopter des formes tout à fait surprenante grace à leur constitution.

Ils se nourissent grâce à leur bouche et leur système digestif nommé digestobol. A l'époque moderne, ils n'ont pas de canal de déjection car la totalité des quantas qu'ils mangent est assimilé.

Constitution

Les Bolkis ont une constitution particulière. Contrairement aux autres espèces vivantes connues dans notre univers, ceux-ci sont constitués d’une chair malléable que l’on appelle slim. Elle est constituée de cellules complexes identiques les unes aux autres qui sont capables de se spécialiser en fonction du désir du Bolkis.

En effet, un Bolkis a le pouvoir de « commander » consciemment à ses cellules de prendre telle ou telle forme, de prendre telle ou telle autre propriété, de créer tel ou tel lien avec celles qui les entourent. En un mot, le Bolkis a le pouvoir de modeler son corps selon sa volonté. Cette aptitude s'appelle la mutaflexe. C'est une tâche somme toute difficile qui demande une certaine pratique et de solides connaissances avant de la maîtriser parfaitement.


Alimentation

A une époque reculée, les Bolkis mangeaient ce qu'ils trouvaient comme organismes vivants et minéraux et possédaient un système digestif adapté. Avec l'évolution, ils ont créé une nourriture appelée quanta qui est constituée de 5 céréales et de 3 minéraux. Le dosage et le traitement en usine permet aux Bolkis de digérer l'intégralité du quanta seulement avec un peu d'acide. Les quantas s'absorbent très facilement par l'organisme. Ils ne peuvent donc plus manger n'importe quoi sans un système digestif adapté.

Les 5 céréales composants le quanta sont le Gostiro, la Zakama, le Fasti, la Joumga et le Grok.
Les 3 minéraux composants le quanta sont le Micre, l'Amacrite et le Fratr.


Respiration

La respiration est un besoin vital chez un bolkis.

Généralement, il n'a pas de système respiratoire particulier, la respiration par la peau lui est suffisant.
Cependant, lors d'efforts prolongés ou dans des conditions particulières, il peut avoir besoin de créer des branchies, poumons ou autres mutaflexes adaptés.

Privé d’oxygène, ses cellules s'auto-empoisonnent avec une substance équivalente à l'acide lactique chez l'homme. Dans un premier temps, les effets sont négligeables, mais durant une période prolongée ils peuvent devenir fatals. Les membranes des cellules engorgées de poisons finissent par se fissurer entraînant leur propre mort. Voici le détail des effets de l'empoisonnement dans le cas de bolkis au repos :

  • 10 minutes : légère gène pour la mutaflexe et toutes les activités cérébrales.
  • 20 minutes : gène significative. Le bolkis peut consciemment favoriser certains fonctionnements pour réduire la gène occasionnée. Cela se fait au détriment du reste.
  • 1/2h : gène importante début de la mort des cellules. L'organisme sacrifie certaines parties afin d'en maintenir d'autres opérationnelles.
  • 1h : la moitié des cellules du bolkis sont maintenant détruites. Quasiment toute activité est proscrite.
  • 2h : les 3/4 des cellules sont détruites
  • 3h : une très faible partie du bolkis (un dixième) est encore en vie
  • 4h : mort

Dans le cas d'une activité physique importantes, ces temps peuvent être réduit d'un facteur 2.


Reproduction

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Le mode de reproduction des bolkis est très particulier.

Lorsque les conditions sont favorables, deux bolkis fusionnent ne formant qu'une seule et même entité. Cette fusion a lieu lors de l'acte d'amour appelé cocol. L'entité créée reste ainsi immobile pendant 8 jours avant de se scinder en 2, 3, 4 et rarement 5 bébés bolkis. S'ensuivra l'enfance puis l'âge adulte.

Les parents vivent encore dans leur descendance, ils y sont comme dilués. Leur conscience est répartie, leur savoir et compétences aussi. Spectateurs, les enfants les consultent parfois instinctivement pendant leur sommeil, parfois consciemment après une longue médiation.

Cet acte d'amour que l'on nomme aussi grand accomplissement est perçu très positivement par les bolkis et n'est pas redouté comme l'on craint la mort.

Bien que cet acte concerne généralement deux bolkis, il arrive ponctuellement qu'un plus grand nombre soit impliqué. Au delà de trois individus, il est extrêmement rare que le cocol aboutisse à la fusion de tous.

Il arrive parfois que l'entité intermédiaire ne se scinde pas. C'est un cas très rare qui produit un solo (fusion de deux bolkis) ou un trolo (fusion de trois bolkis). Ces bolkis d'exception ne sont pas des nouveaux nés car les parents, dont la complémentarité était parfaite, poursuivent leur existence consciente en harmonie. Surdoués, ils ont parfois du mal à trouver leur place parmi les leurs...


Espérance de vie

Les bolkis ont une espérance de vie d'une dizaine d'années.

L'enfance dure 3 ans avant l'âge adulte.

Bien que les maladies et les accidents soient une cause de décès, cela n'en représente qu'une faible partie grâce à la constitution des bolkis qui leur permet de se reconstruire intrégralement.

La fin de leur vie survient lorsqu'ils se reproduisent, fusionnant ainsi avec son amant, vivant ensuite dans ses descendants. On le nomme aussi le grand accomplissement.


Sommeil

Le sommeil est un élément indispensable à la bonne santé des bolkis.

Ils dorment environ 1/3 de leur temps, la nuit de préférence. Une sieste d'une à deux heures est d'usage au milieu de la journée.

Comme chez les humains, les bolkis ont des phases de sommeil dont l'une sert à assurer la cohérence du slim. Dans le cas d'un réveil prolongé, le bolkis perd progressivement son unité.

Voici les troubles constatés sur un échantillon représentatif de bolkis :

  • 30-40h de réveil : l'envie de dormir s'installe.
  • 50h de réveil : début des troubles. Légères hallucinations. Seul l'activité maintient éveillé.
  • 60h de réveil : hallucinations importantes, légères difficultés rencontré pour la mutaflexe et les activités cérébrales
  • 70h de réveil : les hallucinations ne sont plus perçues comme telles par le bolkis. Son jugement ne lui permet plus de les distinguer de la réalité. Il est nettement handicapé pour toute activité. Seul une sollicitation extrême le maintient en éveil. Quelques temps après il rentre en état de catartise. Il est alors très difficile de l'empêcher de s'endormir.
  • 80h de réveil : bien qu'éveillé en catartise, on constate une activité similaire à ce qui est vécu lors de la phase de cohérence du sommeil. Le bolkis n'a aucun souvenir de ce qui se passe à ce moment.
  • 83h de réveil : le bolkis repasse dans l'état identique à 70h de réveil


Douleur

Les bolkis ne ressentent pas de douleur. Cela est inutile ! Ils ressentent simplement les informations sur l’état de leur corps. A noter que cela ne veut pas dire qu’ils ne sont pas ennuyés par les blessures qui lui sont causés. Ces dernières engendrent des disfonctionnements, un handicap temporaire, une perte d’efficacité, une perte de temps, un coût supplémentaire en nourriture... Bref. Les Bolkis ont horreur d'être découpés en morceaux...

Points vitaux

De part à leur constitution, les bolkis n'ont pas de points vitaux, tout au plus quelques points faibles. Leur esprit et leur connaissances sont répartis dans l'intégralité de leur cellule.

Dans le cas d'une perte trop importante de matière, des troubles grave permanent s'ensuivent : perte de parties de leur mémoire, affaiblissement de leurs aptitudes, modification partielle de la personnalité...

Température corporelle

Les bolkis n'ont pas une température constante. Ils ne sont ni à sang froid, ni à sang chaud. De plus certaines parties de leur corps peuvent être à des températures différentes.

La température de fonctionnement idéal du bolkis se situe à 37°C. Il n'encaisse aucun dommage entre 4°C et 56°C. Il survit entre 0°C et 4°C.

Plage de fonctionnement :

  • <0°C : le gel fait éclater les cellules et entraîne la mort du Bolkis
  • 0-4°C : dégât dû au froid essentiellement par auto-empoisonnement des cellules. La récupération est possible dans des temps raisonnables
  • 4-18°C : fonctionnement en léthargie. Les réflexes et temps de réactions sont très fortement ralentis de même que la consommation d'énergie (et donc de nutriments). Les bolkis peuvent volontairement rentrer en léthargie pour palier à une privation de nourriture si les températures extérieurs le permettent.
  • 18-30°C : fonctionnement en mode ralenti
  • 30-45°C : fonctionnement correct avec un optimal qui varie selon les activités
  • 45°C-70°C : surchauffe causant des troubles de fonctionnement et nécessitant du repos entre chaque effort pour éviter des dégradations cellulaires. Ces températures sont utilisées pour lutter contre les maladies
  • >70°C : altération des fonctions vitales causant une mort certaine



Identité

Bien que les bolkis puissent changer leur forme et pour certains leur couleur, ils restent cependant identifiables par la saturation de cette dernière.

En effet, chaque bolkis a une saturation particulière (comme l’empreinte des doigts chez l’homme) qu’il ne peut que très difficilement changer. Comme leurs yeux sont très sensibles à celle-ci, ils sont capables de se différentier et de se reconnaître.

Afin d'être plus précis, des spectrophotomètres sont couramment utilisés par les forces de l'ordre pour identifier les individus.


Etat émotionnel

Lorsque qu'un bolkis éprouve des émotions, sa couleur varie à l'instar d'un homme qui rougit quand il a honte. Chez le bolkis, c'est seulement la luminance qui est impactée par ses humeurs.

Cette dernière est, comme la saturation, fixe pour chaque bolkis lorsqu'il est au calme sous un éclairage précis. S’il est en colère, il devient plus foncé alors qu’un sentiment plaisant aura tendance à le rendre plus clair. Un trouble ou une gène engendrera des fluctuations faibles plus ou moins rapides... En résumé, l'état émotionnel est perceptible et sa lecture est d'autant plus facile que les gens se connaissent bien.


Peur

Lorsque les bolkis éprouve la peur, sa luminance change et devient plus sombre et inconstante sur l'ensemble de la surface de son corps.

Elle fluctue de concert avec les spasmes qui parcourent son slim.


Perception

Le potentiel des bolkis est énorme dans ce domaine. En effet, ils sont capabes, en y ayant travaillé, de percevoir tous les types de photons, d'ondes électomagnétiques ainsi que les types de vibrations. Cela va des infrarouges aux ondes radios en passant par les infrasons, les ultrasons, les UV, les rayons X...

Cependant, peu de bolkis utilise tout cela, mais on retrouve chez quasiment tous :

  • la vue (ou perception visuelle)
  • l'ouie (ou perception auditive)
  • le toucher (ou perception tactile)

Vous l'avez constaté ? Les bolkis sont totalement dépourvus d'odorat...

Perception visuelle

La quasi totalité des bolkis possèdent deux yeux afin de percevoir, comme les humains, les couleurs visibles. Comme c'est grâce à la mutaflexe que les bolkis font leurs yeux, selon leur aptitudes, ces yeux peuvent être de qualité très variable.

Cependant, il est rare que leur vue soit mauvaise. En effet, c'est l'outil indispensable pour reconnaître l'identité des autres.

De part leurs yeux, les bolkis ne traitent pas les informations de la même manière que le cerveau humain (à moins que tous les humains ne voient pas les choses de la même manière... qui sait ?).

Leur perception revient, en décomposant la lumière dans les 3 couleurs primaires, à intervertir ces couleurs :

  • le rouge à la place du vert
  • le vert à la place du bleu
  • le bleu à la place du rouge

On obtient ce type de paysages :

CDL.Lac.montagne.jpg



Perception auditive

La quasi totalité des bolkis possèdent deux oreilles afin d'entendre, comme les humains, les sons audibles. Comme c'est grâce à la mutaflexe que les bolkis font leurs oreilles, selon leur aptitudes, ces oreilles peuvent être de qualité très variable.


Perception tactile

Bien que les bolkis ne ressentent pas la douleur, ils ne sont pas moins sensibles au touché.

Ce sens, moins développé que chez l'homme, est capable de percevoir le chaud, le froid, la rugosité, les entailles et autres agressions.

Une aiguille, une éraflure légère ou un contact léger par exemple pourront totalement passer inaperçus alors qu'un coup de couteau, un dommage réel ou un contact ferme seront forcément détectés.

Bien entendu, grâce à la mutaflexe, un bolkis peut augmenter ces capacités...


Autres perceptions

Les bolkis possèdent grâce à la mutaflexe de nombreuses autres possibilités de perceptions :

Bien que possibles, être capable de créer ces structures demande au bolkis d'y avoir travaillé pendant un long moment, d'autant plus s'il souhaite une performance identique à sa perception visuelle et sa perception auditive.

Les infrarouges sont assez courant par leur praticité évidente lorsque l'obscurité est là.

Les ondes radio sont prisés par les fans de musique bien que plus compliqué encore à apprendre.

Les ultrasons et les micro-ondes sont souvent couplés aux émetteurs correspondant pour obtenir des sonars et des radars.


Emission

Là aussi, les Bolkis ont un potentiel énorme. Cependant, la plupart d'entre eux, n'en voyant pas l'intérêt, n'ont jamais cherché à utiliser autre chose que la parole.

Emetteur sonore

La quasi totalité des bolkis possèdent une bouche afin de parler, comme les humains, dans la gamme des sons audibles. Comme c'est grâce à la mutaflexe que les bolkis font leur bouche, on en trouve de tout genre. Comme ils ne possèdent pas de poumons et que leur mode de communication n'a rien à voir avec les humains, elle est souvent assez simple.

La structure du langage bolkis leur permet de parler sur n'importe quel support ondulatoire dont les fréquences audibles. C'est le support que tous les bolkis utilisent car il est accessible par tous (nourrissons, faible flexs).

Nous retrouverons chez la quasi totalité des bolkis, une bouche capable d'émettre la fréquences fondamentale située à 150 Hz ainsi que 48 premiers harmoniques. La fréquence de référence est la plupart du temps située à 150 Hz. Le dernier phonème est donc situé à 7200 Hz.

Dans certaines circonstances, afin que la voix porte plus ou moins loin ou pour des raisons de discrétion, les bolkis peuvent être amené à utilisé d'autres fréquences de référence pour leur communication.



Autres émetteurs

Les bolkis possèdent grâce à la mutaflexe de nombreuses autres possibilités d'émission :

Bien que possibles, être capable de créer ces structures demande au bolkis d'y avoir travaillé pendant un long moment.

Les ultrasons et les micro-ondes sont souvent couplés aux émetteurs correspondant pour obtenir des sonars et des radars.


La Mutaflexe

Présentation générale

La mutaflexe est la capacité que possède un bolkis, de part à sa constitution, a modeler son corps selon son bon vouloir.

Il peut le faire de deux façons très différentes.
La première consiste à imposer à ses cellules une déformation rapide mais qui ne perdure pas. On parle de mutaflexe courte (ou mutacourte).
La seconde consiste à modifier ses cellules afin de les spécialiser et ainsi créer des organes durables. On parle de mutaflexe longue (ou mutalong)

Voici quelques informations comparatifs sur les deux façons :

Caractéristique Mutacourte Mutalong
Temps de réalisation rapide (de l'ordre de la seconde) lent (de 15 minutes à plusieurs mois)
Maintien quelques secondes avec efforts à vie sans efforts
Temps de récupération quelques dizaines de minutes déspécialisation possible (de 15 minutes à plusieurs mois)
Usage réaliser une action spécifique à un instant T créer un organe utile à une fonction


Mutaflexe courte

Grâce à leur morphologie, les bolkis ont la capacité d'effectuer des mutaflexes dont certaines sont ponctuelles et rapides.

Ces déformations sont appelées mutaflexes courtes (ou mutacourte) et permettent de satisfaire à un besoin particulier à un moment particulier.

Les formes adoptées ne sont pas constantes d’un coup sur l’autre et ne sont pas persistante dans le temps.

« Biologiquement », on pourrait imaginer que les cellules non spécialisées se déplacent les unes par rapport aux autres par des interactions moléculaires. Le mouvement quelles opèrent les spécialisent (perte temporaire de leur structure malléable) et elles ne peuvent donc être réutilisées que difficilement pour d’autres choses. Cela n'exclut pas de pouvoir effectuer plusieurs actions car toutes les cellules ne rentrent pas en jeu à chaque mouvement, mais cela est rendu plus complexe.

Après quelques minutes de repos, les cellules retrouvent leur état d’origine et peuvent servir à nouveau.

Prenons quelques exemples pour expliquer cette capacité :

  • Frot est assis confortablement sur son fauteuil et souhaite attraper son combol resté sur la table basse à 2 mètres de lui. Plutôt que de se lever, une portion de son slim se déforme, créant une longue queue assez fine qui s'empare de son combol et qui lui ramène au creux de la main. Celle longue queue pendouille un moment pendant qu'elle est progressivement réabsorbée dans son corps.
  • Elifo vient d'être projeté par une rafale du haut de la falaise. Prompt à réagir, il élance son slim en quelques longues cordes qui tente de saisir le bord de la falaise. Manque de chance, les prises manquent et lorsqu'il heurt la falaise par l'effet de bascule, ses fixations de fortunes cèdent. Il tente alors de se fixer à la paroi. Tout son slim s'active contre la falaise, cherchant la moindre aspérité pour s'y glisser, la moindre prise à serrer... Il se fixe, commence à remonter le long de la paroi. Un bruit sourd retenti. Son ennemi a fait exploser le sommet de la falaise et des rochers lui tombent dessus. Il esquive habilement les premiers, déplaçant son slim au grès des événements. On dirait une méduse ondulant et se déformant à une vitesse vertigineuse... puis c'est le choc, inévitable. Il tombe maintenant à une vitesse folle. La sol rocailleux approche. Elifo déploie de son slim une vaste aile en forme de parachute. Son aile se gonfle, il ralenti et atterrit en douceur... 200 mobs plus bas.

Tous les bolkis n'ont pas les mêmes capacités biologiques pour effectuer ce type de mutaflexe et n'ont pas non plus les mêmes connaissances en la matière. Car c'est bien par une expérience acquise par la pratique ou lors d'apprentissages spécifiques, que le bolkis déploie ces capacités. On différentie alors le commun des bolkis qui réalisent des choses assez simples avec les flex, plus expert et pointus.

D'ailleurs, les flex qui pratiquent beaucoup ce type de mutaflexe ont généralement des spécialités selon les fonctions suivantes :

  • Aéronautiques : déplacement dans les fluides (voile, nageoires, parapente, parachute...)
  • Athlétiques : sollicitation du slim afin de déployer de puissantes actions (saut, traction, levé, poussée...)
  • Perforation : création de pointes solides et des gestes puissants et précis
  • Durcissement : solidification et compactage de l'organisme afin de résister aux contraintes extérieures (chocs, pression, arrachement, coupure...)
  • Découpe : création de membres tranchants puissants et précis
  • Saisie : tout mouvements permettant le saisir quelque chose
  • Evitement : déformation permettant d'éviter un projectile, une pointe, une lame....
  • Perceptives et émettrices : offre une sensibilité à l'environnement permettant de se le représenter mais aussi d'émettre des sons
  • Précision : déformations maitrisées permettant d'effectuer des actions nécessitant une grande précision (tir, intervention électronique...)
  • Discrétion : déformations à des fins de dissimulation ou d'actions discrètes
  • Chimiques : création de substances chimiques en tout genre
  • Résistance : altération du slim afin de résister au feu, au froid, à l'électricité, aux agressions chimiques et aux radiations



Aéronautique

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes aéronautiques.

Cela leur permet de s'adapter à leur environnement afin de voler, de planer, de piquer ou de ralentir une chute...

Ces mutaflexes sont à la fois amples et techniques.

De bonnes connaissances en mécanique des fluides permet de mieux exploiter les possibilités offertes par ces transformations.


Athlétique

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes athlétiques.

Elles mettent en jeu une force importante mais aussi une grande rapidité et souvent une amplitude assez grande. En cela, elle comporte des points communs avec les mutaflexes aéronautiques.

Grâce à elle, un bolkis est capable de se propulser, de se tracter, d'escalader un arbre ou une falaise, de projeter violemment...


Perforation

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes créant des pointes solides et redoutables.

De toute taille, elle doivent déployer, comme les mutaflexes athéliques, une forte puissance mais ensuite et surtout, une très grande solidité. Cette dernière est atteinte par le compactage du slim et par une forme travaillée. La résistance globale ne s'obtient généralement qu'un peu avant l'impact afin de permettre au slim d'optimiser la rapidité du coup et ainsi la puissance de l'impact.

Outre l'usage évident lors de la chasse, de la pêche ou lors de combats, certains flex utilisent cela pour percer des trous dans les murs, fendre des bûches, labourer la terre... et même pour grimper aux arbres.


Durcissement

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes permettant de se durcir.

Par le compactage des cellules mais aussi par leur disposition intelligente, les flex parviennent à accroitre très fortement la solidité de leur slim. Cela va souvent de pair avec une grande souplesse qui permet l'amortissement des chocs en retournant aux objets le heurtant l'énergie générée par l'impact.

Cette dureté est très utile aux recherches portées sur les techniques de perforation et de découpe.

Les bolkis utilisent cela généralement dans des zones à risques comme les chantiers, les mines, les sports violents ou à risque, l'armée et même parfois dans des discothèques au style marqué...


Découpe

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes permettant de couper, trancher et cisailler.

Effectuer une découpe efficace n'est pas une chose aisée car il faut s'adapter à la cible que l'on vise de par sa forme et de par sa structure.

Par exemple, on ne découpera pas de la même manière une buche de bois et une feuille de papier. D'ailleurs, pour une buche, décider de la fendre dans le sens du fibre ou la découper latéralement n'implique pas le même outil. Dans le premier cas, on utilisera volontiers une hache alors que dans le second cas, celle-ci sera inefficace et on privilégiera une scie à grosses dents. Une feuille de papier doit être tenue ou alors attaquées avec des ciseaux et non pas un simple couteau...

Bref, les flex qui étudient cette fonctionnalité utilise beaucoup le savoir acquis dans le domaine de la dureté pour la lame elle même, mais aussi dans celui de la saisie pour un grand nombre de type de découpe. Bien entendu, les mouvements de slim impliqués sont très souvent rapides et parfois puissants.

Outre l'usage évident lors de la chasse, de la pêche ou lors de combats, de nombreux flex utilisent la découpe au quotidien dans leur travail (bûcheron, cuisinier, électricien, métier du textile...)


Saisie

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes permettant de saisir toute sorte de chose.

Elle consiste à enserrer habilement la cible visée. On distingue plusieurs formes de saisie. Elles peuvent être une simple accroche ou plus englobantes résultant souvent avec un slim ressoudé pour accroitre une prise enveloppante et solide, par exemple, comme un filet de légume... sans noeuds.

C'est une fonction très pratique et qui est utilisé de manière intensive par beaucoup. Pour prendre un verre un peu loin, rattraper un objet qui tomber, se tracter à l'angle d'une rue pour optimiser son virage, rattraper amoureusement son amour qui vous tourne le dos et s'éloigne doucement, saisir la branche d'un arbre, tenir les fils électriques pendant que l'on visse un sucre, se raccrocher lors d'une chute, immobiliser un agresseur...

Vous l'avez compris, la saisie nécessite une bonne souplesse et les flex y travaillant suivent de près les avancées effectuées dans le domaine de l'évitement.


Evitement

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes permettant d'éviter toute sorte d'agressions.

Le principe fondamental réside en déformer le slim du bolkis afin de laisser passer un objet. Cela peut être un coup d'épée, un projectile, une attaque de perforation ou de découpe mais aussi l'envie de se poser sur un tapis de fakir sans se blesser !


Perceptives et émettrices

La mutaflexe courte ne permet pas de créer de perception visuelle mais des flex intéressés par le sujet ont créé une branche de recherche et ont réussi à accomplir certaines prouesses.

Ils ont réussi assez facilement a être attentifs aux mouvements de l'air et à ainsi détecter, comme le fait une mouche, des mouvements à plusieurs centimobs voir à quelques dizaines de mobs pour les meilleurs des flex.

Ensuite, ils ont pu percevoir des parties du spectre les sons, infrasons et ultrasons en exploitant leur sensibilité aux vibrations. Avec cette capacité d'écoute est venu l'idée de générer des sons en faisant vibrer son slim.

C'est ainsi que la mutaflexe courte a enfin permis de tenir des conversations. Les sonars étaient déjà employés avec les mutaflexes longues et ce système est donc grandement utilisé par les bolkis pour se faire une représentation de ce qui les entoure.

En résumé, voici ce qu'il est possible de faire, par ordre croissant de difficulté :

  • détecter les mouvements proches
  • entendre les sons, ultrasons, infrasons
  • parler (à l'instar d'un émetteur sonore simple) ou émettre des sons
  • "voir" comme le permet le sonar d'une chauve souris


Précision

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes nécessitant une grande précision.

Lorsqu'il faut agir sur des petits appareils avec minutie, détecter la forme d'une serrure pour créer en direct une clef adapter ou lorsqu'il faut saisir un bolgun et l'utiliser pour viser une ennemi, la précision devient plus importante que la force ou la rapidité.

De part la sensibilité nécessaire à ces opérations, des rapprochements existent avec le domaine de la perception.
De part les mouvements précis et souvent lents, des rapprochements existent avec le domaine de la discrétion.


Discrétion

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes permettant d'agir discrètement.

Ce domaine est assez particulier car il met en jeu des aptitudes physiques mais aussi des aptitudes chimiques.

Concernant les aptitudes physiques, les capacités mises en jeux sont la souplesse, la capacité mouvoir son slim silencieusement et lentement afin de ne pas se faire repérer par la vue mais aussi par les détecteurs de mouvements. Lors d'actions discrètes, il est très souvent nécessaire d'envoyer plus loin de la matière et cela se fait par un très fin filament qui sert à la fois de nerf et de chemin du passage du slim.

Chimiquement, les cellules sont souvent affecter pour devenir translucides ou de couleurs différentes. Bien que cela soit beaucoup plus difficile que pour le changement de couleur effectué en mutaflexe longue, il est possible pour un flex de modifier la teinte et la variance de sa couleur.

Bref, ce sont plutôt les espions et les voleurs qui utilisent ces techniques. Il peuvent ainsi prendre l'apparence d'un objet environnant lorsqu'ils sont poursuivis (une chaise, une caisse...). En passant dans une pièce, ils peuvent s'emparer sans se faire remarquer d'un objet. Lorsqu'ils saluent un homme avec qui ils font affaire, ils sont capables de déposer un traceur discrètement. Affalé dans le canapé dans le salon près de la porte du bureau, ils peuvent envoyer une partie de leur slim par dessous la porte jusque dans la pièce voisine et ainsi fouiller incognito...


Chimique

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont réussi générer toute sorte de produit chimique.

Contrairement aux autres domaines, celui-ci condamne une partie de la matière en la transformant en une substance chimique liquide.

Ainsi, un flex est capable de créer très rapidement de la colle, des poisons, de l'acide, des drogues... et de les administrer via des seringues ou des projections.

Les possibilités sont les même que pour les glandes de sécrétion que font les flox bien qu'elles soient bien moins efficaces que ces dernières. Les flex se tarquent d'être polyvalents, les flox eux, d'être efficaces...

Certains flex spécialistes du domaine observe avec attention les avancées réalisées dans le domaine de la discrétion car cela leur permet d'injecter les substances habilement et efficacement. De même, les connaissances acquises pour la résistance leur sont fortes utiles à la fois car elles impactent souvent la chimie du slim mais aussi parce qu'ils peuvent ainsi imaginer des solutions pour la contrer...


Résistance

En étudiant la mutaflexe courte, les flex ont affinés leur connaissance des mutaflexes permettant de résister aux différentes formes d'agressions.

On retrouve dans cette catégorie, tous ce qui touche à la chimie (poison, drogues, acide...), à la thermique (chaud et froid), aux rayonnements (irradiations), à l'électrocution et à certains manipulations de l'inter particulières (comme la liquéfaction, la désintégration...).


Mutaflexe longue

Grâce à leur morphologie, les bolkis ont la capacité d'effectuer des mutaflexes dont la plupart sont durables.

Ces déformations sont appelées mutaflexes longues (ou mutalongues) par opposition aux mutaflexes courtes qui elles sont ponctuelles et rapides.

Les mutalongues permettent de modifier le slim dans sa structure la plus profonde afin de créer toute sorte d'organes. Les cellules classiques peuvent ainsi prendre une structure rigide comme le bois, la pierre ou le métal, ou au contraire, s'assouplir afin de créer des tendons, des muscles, des élastiques, des ressorts... Cette spécialisation profonde des cellules n'est pas anodine et il faut un temps important pour la mettre en oeuvre ou pour la défaire.

Dans les cas les plus simples, les bolkis arrivent à leur fin en 1/4 d'heure, mais la plupart des mutaflexes longues prennent quelques jours pour être réalisées.

A leur naissance, les bolkis n'ont que de très faibles capacités dans ce domaine et sont capables de créer des organes basiques (répulseurs, bras, oeil, bouche, digestobol et oreille) de piètre qualité. Avec le temps en travaillant sur leur slim, ils acquièrent de plus grandes capacités qui varient beaucoup selon les individus et leur centre d'intérêt.

Cette acquisition de connaissance s'apparente de très près à une activité de recherche et de développement. Le bolkis découvre par l'expérimentation les moyens d'agir sur ses cellules souches afin d'en faire ce qu'il désire. Cette expérimentation physique ne peut s'expliquer et il n'est donc pas possible de transmettre son savoir à quelqu'un d'autre de manière efficace, ce qui n'est pas le cas pour la mutaflexe courte.

La recherche et développement que pratique le bolkis lui permet d'évoluer dans des typologies de mutaflexes bien distinctes dont voici la liste :


Membres

Ceci est une ébauche à compléter...

Ce sont toutes les entités dépassant de l’organisme qui n’ont pas de « technologies » particulières bien qu’elles puissent être mécaniquement sophistiquées. Dans les membres, on retrouve toutes sortes de chose : bras, queues, tentacules mais aussi lames, lance harpon, mains, clefs, parasol, jumelles, bols, aspirateur, branchies, nageoires, ailes, cordes…

Les flox se spécialisent souvent dans certains types de membres. Les chercheurs ont identifiés trois grandes caractéristiques pour tous ces membres :

  • Dureté : résistance aux chocs, à une traction, à un poids
  • Souplesse : maniabilité, se faufiler, angle d’action…
  • Complexité ou FDRO : complexité des structures ou plus précisément, "Finesse du Détail dans la Réalisation de l’Objet"

Pour les membres qui sont mobiles, trois autres caractéristiques fondamentales sont clairement reconnues :

  • Force (de réaction) : dégât d’arme, lancer, projeter, serrer…
  • Rapidité : dégainer, attraper, réflexes, attaque mains nues, arme blanche, parade…
  • Précision : tir, manipuler…

Afin de s'y retrouver, plusieurs approchent ont permis de catégoriser les membres.

Catégorie de taille :

  • Enorme : de la taille d'un bolkis ou presque (ex : barque, parachute...)
  • Grand : de la taille d'un bras
  • Moyen : de la taille d'une main, d'un couteau, d'un marteau...
  • Petit : de la taille d'une paupière, d'une clef, d'un cligueur...
  • Minuscule : de la taille de la pupille, des cils, d'un fil de toile araignée

Catégorie de mobilité :

  • Mobile :
    • Multifonction : bras, queues, tentacules...
    • Projection : lance grappin, lance disque, catapulte...
    • Découpe : scie sauteuse, scie circulaire, ciseaux...
    • Déplacement : roues, ailes,
    • Manipulation : mains, attrape tout, cligueur, clef adaptable...
    • --- à trier --- : marteau piqueur
  • Immobile :
    • Aérodynamique :
    • Tranchant : lame, scie, couteau à beurre...
    • Perforant :


Répulseurs

Glandes de sécrétion

Senseurs

Grâce à la mutaflexe longue, les bolkis sont capables de créer des senseurs biologiques. Trois catégories de senseurs existent :

Ce sont trois grandes catégories distinctes, c'est-à-dire que la recherche opérée dans une catégorie de senseur n’a aucune répercussion sur les autres. En effet, bien que les photons soient des ondes électromagnétiques de fréquence élevée, le principe d’analyse de l’information reste complètement différent d'un point de vu biologique.

Pour chaque catégorie, on dispose des caractéristiques suivantes :


Senseurs photons

Outre les yeux, il existe de nombreux senseurs de photons. Tous ont ce point commun d'être très fragiles.

Peu après leur naissance, tous les bolkis sont capables de créer des yeux pouvant percevoir dans le visible comme les humains.

S'ils décident de développer leur mutaflexe longue dans ce sens, ils peuvent balayer tout le reste du spectre de la lumière :

  • Infrarouges : émis par les sources de chaleur, ils permettent de "voir" même dans le noir
  • Ultra violet : sources luminescentes (lampes éclairs), fluorescent, fleurs à pollen, utilisé dans le médical pour stériliser (hôpitaux, labos), marqueurs billets de banque.
  • Rayons X : traverse la plupart des matériaux. Ils sont émis par les grosses sources d’énergie en activité comme par exemple les véhicules.
  • Rayons gamma : centrales nucléaires, soleil. Les rayons gamma traversent absolument tous les matériaux et ont donc « une portée infinie ».

Plus ces senseurs sont précis plus la qualité de l'image est bonne ce qui permet de mieux identifier les détails et donc d'obtenir plus d'informations sur des choses lointaines. Ainsi, un oeil très performant peut lire un texte très petit à plusieurs centaines de mètres. D'autre part, cette précision apporte aussi au bolkis plus d'images à la seconde. Cela permet entre autre de mieux percevoir les gestes rapides, de les anticiper et de les décomposer.


Senseurs vibrations

Peu après leur naissance, tous les bolkis sont capables de créer des oreilles pouvant percevoir les sons audibles comme les humains.

S'ils décident de développer leur mutaflexe longue dans ce sens, ils peuvent balayer tout le reste du spectre sonore :

  • Ultrasons : ette gamme de fréquence se situe après les aigus. A l’instar des chiens, l’oreille capte des sons de fréquence plus élevée. Les répulseurs des véhicules émettent des ultrasons quand ils sont en activité.
  • Infrasons : cette gamme de fréquence se situe après les graves. Elle permet de détecter le déplacement des Bolkis car leurs répulseurs émettent des infrasons.

Plus ces senseurs sont précis plus la qualité du son perçu est bon. Cela permet de mieux identifier les détails et donc d'entendre des sons plus faibles, plus lointain, de filtrer le bruit et d'en sortir certains éléments. Ainsi, un oreille très performante pourra entendre une conversation à plusieurs dizaines de mètres.


Senseurs électromagnétiques

Seule une partie des bolkis décident de développer leur mutaflexe longue afin de créer des senseurs capables de capter les ondes électromagnétiques.

On identifie trois gammes utilisables :

  • Micro ondes (hautes fréquences) : permet de capter les communications combols (faible portée mais haut débit) et, si besoin de les décrypter à l'aide de la cervotik
  • Radio (basse fréquences) : permet de capté toutes les communications de type radio et TV (faible fréquence) et, si besoin, de les décrypter à l'aide de la cervotik
  • Champ magnétique : permet d’avoir une boussole et de détecter les champs magnétiques engendrés par les moteurs, bolcars, combols, usines… (attention, mise à part le champ magnétique de la planète qui est présent de partout, la portée est en général faible)

Plus ces senseurs sont précis plus la qualité du signal perçu est bon. Cela permet de mieux identifier les détails et donc de capter des signaux plus faibles, plus lointain ou de filtrer le bruit et d'en sortir certains éléments. D'autre part, une forte précision lui permettra d'identifier plus rapidement les fréquences actuellement utilisées sur le spectre et de se focaliser aussi plus rapidement sur l'une d'entre-elle.

Notons que bien que la lumière soit une onde électromagnétique, la gamme de fréquence est nettement plus grande, entraînant des senseurs biologiques nettement différents de par leur conception.


Emetteurs

Emetteurs photons

Emetteurs vibrations

Peu après leur naissance, tous les bolkis sont capables de créer une bouche pour émettre des sons audibles comme pour les humains.

S'ils décident de développer leur mutaflexe longue dans ce sens, ils peuvent balayer tout le reste du spectre sonore :

  • Ultrasons : cette gamme de hautes fréquences se situe après les aigus. Ces sons se réfléchissent fortement sur les parois ce qui permet, en couplant un émetteur à un récepteur, de créer un sonar. L'envers de cette caractéristique est que les sons ne portent pas très loin car ils sont très vites absorbés.
  • Infrasons : cette gamme de basses fréquences se situe après les graves. Ils traversent ainsi facilement les matériaux et sont capables de porter jusqu'à plusieurs dizaines de kilomobs. À forte puissance, les infrasons peuvent avoir des effets destructeurs, tant mécaniques que physiologiques.

Plus l'émetteur est précis, plus la gamme de fréquence est générée de manière fine. Cela permet influe sur la beauté de la voix, la qualité du son émis, la qualité du sonard.

Plus l'émetteur est puissance, plus le son généré peut être fort. Ainsi, la voix portera plus loin ou devenir tellement forte qu'elle en devient insupportable. Un émetteur de vibration très puissant offre la possibilité de briser les matériaux non composites en les faisant rentrer en résonance (ex : vitres, plaque de métal…)


Emetteurs électromagnétiques

Seule une petite partie des bolkis décident de développer leur mutaflexe longue afin de créer des émetteurs capables d'envoyer des ondes électromagnétiques.

On identifie trois gammes utilisables :

  • Micro ondes (hautes fréquences) : permet d'émettre des communications de type combols (faible portée mais haut débit) et, si besoin de les crypter les communications à l'aide de la cervotik. Les micro-ondes peuvent aussi servir pour chauffer les aliments ou les organismes. Ils peuvent donc être utilisés comme arme à haute puissance. De même, les appareillages électroniques peuvent être endommagés ou même détruit par ce type d'ondes. Couplé à des senseurs électromagnétiques, un bolkis peut créer un radar et s'orienter avec.
  • Radio (basse fréquences) : permet d'émettre des communications de type radio et TV (faible fréquence) et, si besoin, de les crypter à l'aide de la cervotik. Ces fréquences ont l'avantage d'être peu atténué par l'environnement et porte donc à de longues distances.
  • Champ magnétique : permet d'agir comme un aimant (ou plutôt d'un électroaimant). Les applications sont très variées dans les environnements chargés en métaux.

Plus l'émetteur est performant, plus la porté de celui-ci est grande et plus le signal émis peut être complexe. Ainsi, il est possible d'annuler une transmission en court en émettant un signal parfaitement opposé à celui actuellement reçu. Les ondes électromagnétiques s'annulent ainsi.

Notons que bien que la lumière soit une onde électromagnétique, la gamme de fréquence est nettement plus grande, entraînant des émetteurs biologiques nettement différents de par leur conception.


Changement de forme

Les bolkis qui pratique la mutaflexe longue ont exploré une voie non évidente qu'ils ont nommée changement de forme.

Le principe est de se créer une nouvelle forme qui pourra être prise quand il le souhaite.

Ainsi, un bolkis pourra concevoir la forme d'un arbre. Par la suite, quand il le souhaite, il pourra passer de sa forme normal à celle de l'arbre et vis-versa.

Le passage à cette forme a souvent pour effet de rendre inopérant tout ou partie des membres et autres mutaflexes encombrantes dont est muni le Bolkis. Ce n'est pas pour cela que cette forme devient inerte. Elle peut être conçue pour avoir sa propre mobilité. On notera par exemple quelques changements de forme caractéristique :

  • Se transformer en parachute, en barque, en ballon de montgolfière, en arbre...
  • Se transformer en vers de terre, en crêpe mobile...
  • Se transformer en ressort, en trampoline...
  • Prendre une couleur différente, se faire passer pour quelqu'un d'autre...
  • Se gonfler, se compacter, se rendre spongieux et à l'extrême se fluidifier

Les flox maîtrisant les changements de forme parlent souvent de 5 grands critères.

Le premier est l'amplitude qui correspond en quelque sorte à l’extravagance de la forme par rapport à la forme de départ.

En second, c'est la souplesse qui peut être importante. En effet, elle va permettre ou non la mise en mouvement de la nouvelle forme avec des possibilités pouvant varier très fortement.

Viens ensuite la capacité à changer sa couleur, ce qui est souvent indispensable pour imiter correctement un objet, un individu.

En quatrième lieu, se trouve la capacité à altérer des membres déjà spécialisés. On l'appelle parfois antidureté bien qu'elle ne soit que rarement aborder dans les discussions. Ce nom vient du fait que la principale difficulté dans ce type d'opération est de modifier dynamiquement des mutaflexes solides.

Pour finir, certains flox travaillent leur rapidité à changer de forme. Comme il a été dis plus tôt, bien qu'il ne soit jamais long de changer de forme, cela ne se fait pas en un instant. En y travaillant, certains bolkis sont capables de réaliser de vrai prodige en passant quasi instantanément de leur forme d'origine à celle d'un objet de décors anodin...


L'Inter

Présentation générale

Ceci est une ébauche à compléter...


L'existence de l'Inter a longtemps été inconnu des peuples.

L'Inter est le support qui permet l'existance de toutes les forces présentent dans l'Univers.

Elle a vu le jour la première fois lors des tentatives d'unification des 4 forces : électromagnétique, gravitationnelle, interaction forte, interaction faible

Lorsqu'une force s'applique, c'est que l'Inter présente l'équivalence de cette force dans le sens opposé mais de manière beaucoup plus diffuse au sein de l'espace.

De même, la manipulation de l'Inter génère des forces opposées de diverses nature.

La bolkis ont acquis la capacité de manipuler l'Inter ce qui leur confère des pouvoirs qualifié de magique.

Ces manipulations nécessitent des aptitudes et un bon apprentissage de ces manipulations. Un bolkis qui possède ce genre d'aptitudes est appelé un intol.

Bien que non indispensables, les connaissances de la nature et des autres sciences sont des atouts souvent très intéressants pour être des plus efficaces.


Domaines

Bien que la manipulation de l'inter soit toujours basée sur le même principe, il existe de nombreuses façons de l'utiliser. Avec le temps, les intols ont catégoriser ces grandes façons d'agir selon 3 domaines principaux :

  • Eléments : contrôle des éléments et des énergies
  • Matière : contrôle de la matière, de la substance des choses
  • Esprit : contrôle des esprits


Chacun de ces 3 domaines est découpé en 4 sous domaines que voici :


Eléments

Livre:Eléments

Fluide

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En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine des éléments et entre autre, dans la maitrise des fluides.

La maitrise des fluides concerne l'air, l'eau mais aussi tout autre gaz ou liquide.

Un intol est capable d'agir sur leur déplacement, leur volume et leur pression. Ainsi, il peut créer du vent, des tourbillons, appauvrir l'air, jouer sur son taux d'humidité, détourner une rivière, remettre la bière dans la choppe que l'on vient de renverser...


Lumière

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En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine des éléments et entre autre, dans la maitrise de la lumière.

Un intol est capable d'orienter la lumière, de l'amplifier, de l'atténuer, décaler son spectre et même de la créer. Ainsi, il peut voir éclairer une pièce sombre, assombrir une zone, se cacher en s'assombrissant comme une ombre ou en changeant sa couleur vers le vert, le rouge, le bleu... Il peut même devenir invisible en ordonnant à la lumière environnante de le contourner. Il peut aussi ramener à ses yeux des rayons lumineux et ainsi voir ce qu'il ne peut habituellement pas voir (à l'angle d'un couloir, loin en avant, derrière un bâtiment...) A haute puissance, en concentrant la lumière il peut créer un rayon laser ou alors détourner voir absorber un tir de laser.

Les applications sont multiples et s'il possède de solides connaissances en optique, il pourra imaginer des les actions complexes qui seront alors plus facile à réaliser (comme l'invisibilité, la colorisation des infrarouges, la reconnaissance des matériaux par analyse du spectre...)


Feu

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En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine des éléments et entre autre, dans la maitrise des quantités de chaleur.

Ce domaine a été nommé historiquement "feu" car il avait été étudier pour sa maitrise. Avec le temps, et l'évolution des connaissances scientifiques, les intols se sont rendus compte que ce sous domaine était permettait beaucoup plus de choses que ce qu'ils avaient pensés initialement.

Ainsi, il est possible de transférer, créer, supprimer l'excitation moléculaire afin de jouer sur la température des objets, de l'air, de l'eau et de tous ce qui nous entoure.

Ce sous domaine permet donc de créer du feu, de l'amplifier, de le concentrer, de le mettre en mouvement ou de l'éteindre, ce qui est déjà un grand pouvoir. Mais un intol peut aussi réchauffer une pièce, mettre de l'eau en ébullition, geler un verre d'eau, transformer la pluie en grêle, geler des composants électronique, rendre froid et cassant un matériau quelconque.

Grâce à de connaissances pointues en thermodynamique, le champ des possibilités d'un intol se trouve démultiplié et ses réalisations souvent grandement simplifiées par une meilleure utilisation des énergies et des propriétés des corps.


Energie

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En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine des éléments et entre autre, dans la maitrise des énergies électriques et magnétiques.

En manipulant ces énergies, un intol est capable de créer, atténuer, amplifier ou dévier un courant électrique, un champ électromagnétique ou magnétique. Ainsi, il peut perturber les boussoles, aimanter des objets, couper le courant, brouiller les communications, détruire des composants électroniques...


Matière

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Télékinésie

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En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine matière et entre autre, dans la maitrise de la télékinésie.

Ce contrôle leur permet de déplacer à distance tout solide. Selon sa puissance, l'intol pourra gérer l'accélération, la vitesse maximal de l'objet et la finesse de son contrôle. En effet, la télékinésie peut être utilisée pour manipuler de petits mécanismes. Comme l'intol reçoit un retour de son contrôle, il peut "visualiser" ses actions, ressentir leur forme au même titre que s'il les touchait.


Vie

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En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine matière et entre autre, dans la maitrise de la vie.

Ce sous domaine est assez particulier et provient d'une approche peut conventionnelle de l'Inter qui fut initié par les premières générations d'intols. Il est important de rappeler que l'essence de la vie est fortement lié à l'Inter par la multiplicité, la complexité des petites forces qui agissent en son sein.

Avec ces connaissances, il est possible d'accroitre ou de diminuer les capacités d'un organisme, de mettre en mouvement les organismes, de les mutaflexer, qu'ils soient en slim ou non. Dans cette dernière action est puissante et qu'elle agit sur des organismes qui n'ont pas de capacités de mutaflexe, il est fréquent que ces dernières soient endommagés et parfois de manière naturellement irréversible.

Globalement, nous pouvons dire que l'action de l'intol se porte au niveau macroscopique, à l'échelle des cellules de l'organisme.


Matière

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Particules

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En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine matière et entre autre, dans la maitrise des particules.

C'est en s'appuyant sur des connaissances scientifiques pointues, que les intols ont pu manipuler de manière profonde les interactions au niveau atomique et plus petit. Bien qu'il soit possible d'agir de manière instinctive, ce sous domaine offre aux savants un éventail de possibilité très large et très efficace en mettant en jeu des puissances très raisonnables.

A un niveau conceptuel assez simple, un intol peut dissocier temporairement ou non les liaisons et ainsi permettre la téléportation, une forme d'invisibilité ou d'inconsistance propre à laisser passer une lame au travers de son corps. A des niveaux de pouvoir élevé, il peut aussi renforcer significativement les liaisons mais cela reste une tâche complexe et la rigidité des matériaux n'est souvent pas l'apanage de ce sous domaine.

Avec de bonnes connaissances en chimie, il est


Esprit

Livre:Esprit

Influencer

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En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine esprit et entre autre, dans l'influence des créatures.

En modifiant de manière subtil le psyché des individus, il est possible de les impacter sans qu'ils en soient conscient. Cette action agit essentiellement sur les émotions, les désirs, les volontés voir même les pensées. C'est important de noter que la personne ne suspecte pas une influence. Cependant, quand cela est trop anormal, elle peut à postériori se dire qu'elle n'aurait jamais agit de la sorte.



Modifier

En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine esprit et entre autre, dans la modification de ceux-ci.

Ces modifications sont permanentes. Cependant, la plasticité de l'esprit permet de retrouver son état initial de différentes manières (mutaflexe, cervotik, inter ou assistances médicales). Plus la modification est ancienne et plus il sera difficile, voir impossible, de retrouver l'état initial.

Généralement, la modification concerne les connaissances et les souvenirs par des ajouts et suppressions de celle-ci. Plus la connaissance (ou le souvenir) est profond chez l'individu, plus la difficulté est grande. Du coup, effacer de la mémoire une personne ne sera pas du tout identique si elle a été croisée une fois ou si elle a été côtoyée de près pendant plusieurs années. Notons qu'il est nettement plus aisé de supprimer que d'ajouter car cette dernière opération nécessite une qualité bien plus importante.

Important : il n'est pas possible d'utiliser ce domaine pour lire des souvenirs de manière précise. La modification utilise des techniques de masquage permettant d'identifier les zones rechercher et de les impacter. Faire cela en aveugle est possible mais offre moins de possibilité que si le souvenir est connu, ce qui peut être réalisé par le sous domaine communiquer.

A plus haut niveau, il est possible d'impacter le caractère d'un individu, de supprimer ou d'injecter des troubles du comportement et même de le rendre fou voir suicidaire. Bref, aucune limite n'a été soulevée par l'état actuel des recherches des intols.


Communiquer

En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine esprit et entre autre, dans la capacité à transmettre des informations via la nappe de l'Inter.

Ce sous domaine est assez vaste. Bien entendu, il permet l'envoi de messages télépathiques ou l'établissement de discussions entre deux ou de plus nombreuses personnes. Cependant, s'arrêter à cette notion serait trop restrictive. En effet, un initié est capable de lire les émotions, les pensées et même les souvenirs d'une créature sans qu'elle n'en soit consciente.

Contrairement au sous domaine modifier, communiquer implique toujours des informations volatiles qui ne sont pas inscrite de manière magique dans l'esprit, ce qui, bien évidemment, ne veut pas dire que les échanges télépathiques ne peuvent pas être mémorisés naturellement !

Pour comprendre ce qu'il est possible de faire, voici quelques indications de difficultés :

Mode de communication :

  • Lire : plutôt facile
  • Ecrire : moyen
  • Lire et écrire : plutôt difficile

Type de communication :

  • Normal : facile
  • Discret : difficile

Nature de la communication :

  • Emotion : très facile
  • Désir : facile
  • Sons : moyen
  • Images : difficile

Individus impliqués :

  • Un seul (autre que le lanceur) : moyen
  • Plusieurs : difficile
  • De nombreux : très difficile

Distance de communication : De part sa nature, les communications portent assez facilement sur de très longues distances.

  • Proche (< 10m) : très facile
  • A proximité (< 100m) : facile
  • Assez loin (< 1km) : moyen
  • Loin (< 10km) : difficile
  • Très loin (< 100km) : très difficile
  • Extrêmement loin (< 1000 km) : extrêmement difficile

... De plus, si c'est un message qui est envoyé sans l'attente d'un retour, il porte sur la nappe de l'inter à un distance encore plus grande (entre x10 et x1000 selon la nature du support)


Ordonner

En étudiant l'Inter, les intols ont affinés leur connaissance dans le domaine esprit et entre autre, dans la contrôle de ceux-ci.

Cette approche est assez brutale car elle consiste à repousser l'esprit d'une personne afin qu'elle perde le contact avec son être physique. Lorsque la déconnexion a lieu, cela laisse la place à l'intol qui prend alors le contrôle absolu. Dans sa bulle, l'esprit est conscient de tout ce qui se passe et continu à percevoir les événements, mais il devient totalement dépourvu de sa capacité à agir dans le mode réel. Cela comprend ses aptitudes à contrôler l'Inter car celle-ci ne sont plus entre ses mains.

Ordonner est un sous domaine assez difficile car il faut déconnecter l'esprit de l'autre. Les débutants commencent par concentrer leur impact sur la toile de l'inter quelques temps afin de projeter une onde qui permet la dissociation brève de l'esprit. La petite fenêtre temporelle laissée libre lui permet de glisser des ordres plus ou moins complexes.


Technologie et société

Afin de préserver toute latitude au maître du jeu sur sa façon de présenter le monde, peu de détails sont présentés au joueur dans ce livre. Le maître du jeu renverra les joueurs vers les parties qui l'intéresse.